Sans repentance - Les dessous du débarquement du 6 juin 1944

INSCRIVEZ VOUS A NOTRE MESSAGERIE : Découvrez “Le livre noir des républiques en France“ ! : Ce livre est basé sur les dossiers qui furent effectués dans la cadre de la création de vidéos pour SACR TV ! Vidéo disponible sur ODYSEE : @actionroyaliste:c/Les-dessous-du-6-juin-1944:f Le 6 juin 1944, les alliés débarquent en Normandie. Lorsque Churchill avait annoncé à de Gaulle le projet du débarquement, excluant la présence d’unités françaises, hormis les 177 hommes du Commandos Kieffer. Ce commando dont on retrouve l’histoire dans les mémoires de Gwenn-aël Bolloré (Nous étions 177), montre que les premiers libérateurs étaient Français… De Gaulle lui fit le reproche de se mettre aux ordres de Roosevelt au lieu de lui imposer une volonté européenne, Churchill lui répondit : « De Gaulle, dites-vous bien que quand j’aurai à choisir entre vous et Roosevelt, je préférerai toujours Roosevelt ! Quand nous aurons à choisir entre les Français et les Américains, nous préférerons toujours les Américains ! Quand nous aurons à choisir entre le continent et le grand large, nous choisirons toujours le grand large ! » (Extrait de l’ouvrage « C’était de Gaulle » d’Alain Peyrefitte – Tome 2, Édition de Fallois Fayard 1997 – pages 84 à 87). Une logique anglaise que les siècles n’ont jamais ternis… Charles de Gaulle disait à Alain Peyrefitte : « Le débarquement du 6 juin, ç’a été l’affaire des Anglo-Saxons, d’où la France a été exclue. Ils étaient bien décidés à s’installer en France comme en territoire ennemi ! Comme ils venaient de le faire en Italie et comme ils s’apprêtaient à le faire en Allemagne ! Ils avaient préparé leur AMGOT qui devait gouverner souverainement la France à mesure de l’avance de leurs armées. Ils avaient imprimé leur fausse monnaie, qui aurait eu cours forcé. Ils se seraient conduits en pays conquis. Et puis, ça contribuerait à faire croire que, si nous avons été libérés, nous ne le devons qu’aux Américains. Ça reviendrait à tenir la Résistance pour nulle et non avenue. Notre défaitisme naturel n’a que trop tendance à adopter ces vues. Il ne faut pas y céder ! C’est exactement ce qui se serait passé si je n’avais pas imposé, oui imposé, mes commissaires de la République, mes préfets, mes sous-préfets, mes comités de libération ! Et vous voudriez que j’aille commémorer leur débarquement, alors qu’il était le prélude à une seconde occupation du pays ? Non, non, ne comptez pas sur moi ! Je veux bien que les choses se passent gracieusement, mais ma place n’est pas là ! (Extrait de l’ouvrage « C’était de Gaulle » d’Alain Peyrefitte – Tome 2, Édition de Fallois Fayard 1997 – pages 84 à 87). Ce qui explique que jusqu’à sa mort, de Gaulle ne participa a aucune commémoration du débarquement du 6 juin 44 ! Car c’est bien de cela qu’il s’agit ! Les américains en 44 n’ont été ni plus ni moins que des envahisseurs comme de Gaulle lui-même les a toujours considéré. Notre France, si affaiblit soit-elle, vous regardera toujours avec panache, du haut de ses deux millénaires d’Histoire et aidera les peuples dans la souffrance pour garder leurs libertés, comme elle vous aida à obtenir la vôtre ! Notre Jour Viendra ! Le site : Documents PDF :
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